L’énième cas d’incendie qui s’est produit au quartier Nyalukemba, sur Avenue Irambo III, laisse de traces amères dans les cœurs des habitants de ce coin. Plus de 55 maisons parties en fumées, 13 autres endommagés et une mort d’une dame de plus de 84 ans est à déplorer. Ce drame prive plus de 300 familles de leurs logis et ont été contrées de passer leur première nuit à la belle étoile.
A peu près une centaine des familles victimes de démolitions des maisons construites le long de la route Essence Major Vangu vers la frontière Ruzizi 2, communément appelée « route elakat » en commune d’Ibanda, ville de Bukavu, s’indignent de n’avoir pas été avisées et réclament qu’ils soient indemnisées.
Les enseignants des territoires de la province du Sud-Kivu assiègent la route boulevard Patrice Emery Lumumba devant l’agence bancaire TMB Bukavu. En scandant des chants d’appel au respect de leur droit, ces derniers en colère viennent de barricader la route pour exiger le paiement sans condition de leur salaire pourtant libéré par l’Etat Congolais depuis le mois d’octobre.
A Bukavu, chef-lieu de la province du Sud-Kivu, la paie des enseignants basés dans des territoires pose toujours problème. Plusieurs enseignants se plaignent du retard et du manque d’organisation dans la perception de leur paie auprès de certains établissements bancaires il y’a de cela trois mois.
Selon un constat fait par deboutrdc.net, d’autres mesures barrières instaurées par le personnel soignant notamment le lavage de mains, le port de cache-nez, la distanciation physique,…sont jetés aux oubliettes en faveur du couvre-feu.
Dans le cadre de la célébration du 72è anniversaire de la déclaration universelle des droits de l’homme, la synergie des organisations des droits de l’homme a organisé une matinée réunissant les autorités civiles et militaires pour parler de la question. Célébrer sur le thème reconstruire à mieux, défendons les droits de l’homme ; la SODH a choisi de faire une surveillance dans le but de rapporter les graves violations des droits de l’homme en province.
Les pétroliers paralysent la circulation dans la ville de Bukavu, et rendent la vie trop compliquée aux gens vivant au taux du jour. Ces derniers exigent la libération de l’un d’eux détenu 4 jours durant au cachot du parquet de Bukavu.